Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

PapierQ

13 juin 2010

Ah le prochain article !!

Ce fuckin' article, il arrive il arrive, il est comme Zorro, il arrive sans se presser, il attend la fin des exams, le temps du récapitulatif, et les prochaines aventures à venir...
Il devrait poindre le bout de son nez avant la fin juillet, et il devrait être comme mon bide, enflé, replet, et gazeux comme un fut de bière.

 

Sur ce. 

Publicité
Publicité
28 février 2010

La toute puissance de Mr Chibre

Ayant décidé de devenir un peu plus productif sur mon nouveau campement virtuel, je viens donc vous reposter un petit truc aujourd'hui.
Et franchement pas motivé à vous pondre un article ésotérique traitant de l'envoutement des boucs (Drag me to Hell, Raimi tu gères...), ou encore du protocole du port de la moustache dans les lieux autorisés ; je pense juste lâcher deux trois vidéos qui va enivrer ta morne journée du dimanche.
Et tant qu'on y est, parlons en du dimanche !
Je déteste cette fuckin' journée. Je me demande bien à quoi elle sert à part permettre aux jeunes de se remettre de leur cuite de la veille, aux grenouilles de bénitier d'aller à la messe et aux ploucs d'aller faire leurs emplettes (option qui marche aussi pour les grenouilles après la messe.)
Et toi, en tant que jeune, qui n'a pas forcément eu la chance de sortir la veille, et que par malheur t'es pas le genre à apprécier la clinophilie, et bien tu t'emmerdes à un point, ou tu as hâte que l'épisode de walker texas ranger dominical arrive mettre un peu de lool dans cette journée bien triste.
Chuck Norris aura toujours le don d'autodérision involontaire.... (air nostalgique).

Bref, une fois n'est pas coutume, en tant que jeune déglingo de moins de 25 ans, vivant seul, j'ai eu la chance d'avoir un dimanche plutôt pas mal rempli aujourd'hui. Et ça zizir, il faut bien l'avouer.
Toujours est-il, pour ne pas épiloguer, le dimanche c'est une journée de merde.
Et je crois bien qu'en vieillissant ça va pas s'arranger. Les repas assomant dans la famille, à se coltiner tous les gens pour lesquels tu fais en sorte de ne jamais être libre dans la semaine, et j'en passe.

Enfin, revenons à nos moutons, les vidéos s'il vous plait !

Survivez à votre dimanche. Papier Q

26 février 2010

2ème article, mince alors.

Hello à vous les pédalos, ça faisait bien longtemps que j’aurais du poster deux trois conneries par ici.

Avec l’attente imposée j’ai l’impression de passer pour un allumeur de première ; mais bon voilà je suis de retour avec un sujet qui me turlupinais quelques peu, et qui me semblait bon de lancer à vos cervelles affamées.

Disons que j’ai eu un peu le déclic, tout à l’heure (de faire cet article je parle) à

la BU.

Oui

oui, la bu au final on y revient toujours.

En observant les gens passer, juste à côté de moi, en voyant ceux qui venaient me parler pour ensuite aller talkshitter avec la table d’à côté, un dilemme s’est imposé à moi (et aussi parce que j’ai l’impression de parler à des murs depuis un petit bout de temps.)

Et n’imaginez pas que cela m’est venu à cause de mon nombrilisme fini. Nope.

Je me disais qu’en fait une personne, aux yeux de l’autre, n’est qu’un misérable bout de viande parlant servant à le divertir, ou encore à lui permettre de s’entendre parler.

Je dois bien avouer que j’ai l’impression moi-même de considérer mon environnement social comme tout un tas de jouets avec une IA un peu plus poussée que pour un gadget normal.

Ca peut paraître pour de l’aigri-attitude mal pensante, mais finalement, les gens avec lesquels on peut traiter finissent par se contre foutre totalement de ce que l’on peut bien raconter. Ils iront se coucher le soir en ressassant leurs fantasmes foutraques qui n’appartiennent qu’à eux.

Quand je vous dis ça, il y a bien sur des exceptions, ou plutôt une 2nde communauté. Celle avec qui vous avez l’impression de jouer à un match de squash verbal. C’est peut être ceux là qu’on ose appeler les amis. Alors si je continue dans ce raisonnement, j’ai des amis. Mais peut être pas forcément ceux que l’on croit. Et en y pensant ça peut surprendre. Mais je dois me masturber en racontant ça parce que je dois avouer que je sais quelles sont ces personnes dans mon entourage.

Mais dans un désir d’en avoir toujours foutrement plus, faudrait que le système marche avec tout le monde que l’on connaît, ou que l’on aimerait connaître. Et en y réfléchissant, c’est peut être cela qui me pousse à venir réécrire ici. Dans l’attente, d’avoir d’autres gens à qui parler, et pas au paysage.

Mais pour revenir à tous ces gens qui ne s’intéresse pas du tout à vous, ou qui font seulement semblant. Je trouve que lorsque l’on finit par se rendre compte de l’utilité que l’on a pour eux, disons que ça aura tendance à vous coller une bonne déprime, et un grand pas vers la case ASOCIAL.

Bref l’animal blessé parle un peu aussi ce soir.

Dans cette société de consommation (qui a bien des avantages il faut aussi l’avouer), l’être humain est réduit à une marchandise, à usage unique ou lavable après utilisation.

Et les plus enclins à être utilisés seront les gens beaux, au langage fleuri, possédant une « cool atittude » plus mainstream qu’autre chose ; et tous les autres seront les laissés pour compte, à qui on adressera la parole, ou on passera du temps que par obligation.

Tout ça pour dire qu’en dehors des nobles sentiments que l’on peut avoir de temps en temps (cf la 2nde communauté), on est des véritables crasseux usant, pillant, utilisant jusqu’à plus soif. Bref, on a pas tant évolué que ça depuis les barbares, on est juste un peu moins violent et muni de technologies un peu plus poussées.

Et je pense que vous et moi, on a pas vraiment vocation à faire changer le monde.

Cependant mis à part mon raisonnement un peu déplacé de ce soir, la vie, les membres du crew, et croire aux nobles sentiments, ça a du bon.

Ma vision est pour le moins obscurcie, déclenchée peut être par le besoin irrépressible de cracher du venin pas trop toxique.

Bref, c’est agréable de vous savoir là ou pas trop loin (vous vous reconnaitrez).

Et excusez moi encore pour ma philosophie de la fosse septique (du café du commerce ça va de soi).

Pour me faire pardonner, je vous lâche un petit cadeau, avec tous mes bits bancalement agencés. C'est la maison qui rince.

15 décembre 2009

Introduction

Autant vous dire qu'il s'en passe des choses de merde, dans le secteur, dans ta ville, dans ton pays, dans ton monde et dans nos têtes.
Et qu'on en chie par paquets de 12 pour réussir à extirper le peu de poésie, d'insaisissable dans ce monde de niais et de mal baisés.

Bref, tout ça pour vous dire qu'un nouveau blog ne serait pas de trop. Oui oui encore un les boys, on est un peu au 6ème.
Mais bon mes blogs, c'est un peu comme les Call of, c'est toujours de qualité pour les nombres pairs.
Le 4ème, personne l'a connu, il était beau, il provoquait de bien belles vidanges massives, tellement massives que bon, le publier n'aurait fait de moi qu'un beau connard bien décidé à critiquer tous les petits connards du secteur. (Boutdegraillon bis quoi).

Celui là, il va pas souvent être mis à jour, mais je vais essayer de mettre des trucs de qualité dessus. Pas vous parler de la météo comme je pourrais en parler avec Mme Kergomar la vieille voisine qui n'entend que d'une oreille.
Et pas dégrader les vilains personnages qui entourent les protagonistes de mes péripéties habituelles.
Et on va éviter de faire de la démago qui sent le gland.
Et on va éviter de faire des chroniques post-rock de déprimé de la vie.

Bon, en gros je me réserve un boulot de bôtôrd, pour satisfaire tous ces petits yeux avides de cochonnasseries en direct de mon bled d'adoption.
Je vais essayer de vous pondre un truc pas trop crado, mais qui me satisfasse moi plus que vous.
Et j'en ai un peu gros sur la patate en ce moment, donc ça devrait pas avoir trop de mal à gicler de mes doigts.

Enfin voila mes gros, profitez bien de mon nouveau caca batard PAPIERQ.
Je vous bise sur la joue, on se réserve la fesse quand les présentations auront été faites.

Sur ce.

Publicité
Publicité
PapierQ
Publicité
PapierQ
Archives
Publicité